Au départ de la plateforme vers le Nord, l’itinéraire emprunte une piste un peu raide, un de ces sillons tracés en forêt permettant de “débarder” (transporter) les troncs de bois vers la vallée. On s’élève en forêt avec autour de nous : trembles, hêtres et résineux. Parfois, le souffle un peu court mérite qu’on s’arrête ou qu’on ralentisse pour ralentir le rythme de la marche, tout en douceur.
La crête septentrionale du Vercors s’atteint en 35 minutes ; on rejoint la sente qui permet en toute sécurité de longer le bord de crête ; les petites “fenêtres” percées à travers la végétation que sont ces arbustes souvent balayés par les vents et courants d’air, offrent de nombreux points de vue par dessus les falaises sur la Chartreuse toute proche à vol d’oiseau. Le sentier se faufile vers l’Est entre les lapiaz ou clapiers, ces rigoles creusées naturellement par l’écoulement de l’eau dans la roche calcaire. Après un tronçon sans dénivelé, une dernière montée dégagée de quelques dizaines de mètres, permet d’atteindre le petit sommet découvert de la Buffe, et son large promontoire herbeux, à 1623 m d’altitude.
Satisfaction du sommet atteint. Plénitude quand on s’assied dans l’herbe rase pour profiter d’un panorama riche de sommets et de reliefs proches ou lointains : Chartreuse, Mont - Blanc, Belledonne, Oisans, Ecrins, Taillefer etc… La halte peut être longue si on en profite pour détailler les noms des sommets !
Etape suivante, le sommet de la Sure avec son antenne radio à 1643 m. Puis on redescend vers l’Est et une vaste prairie herbeuse où pousse la gentiane jaune, grande herbe vivace (jusqu’à 1m50) et robuste aux feuilles nervurées et aux fleurs jaunes. Là encore, une halte contemplative s’impose pour profiter d’un panorama encore plus vaste et riche que le précédent.
Notre randonnée se poursuit en contrebas toujours vers le Sud ; on prend un chemin plus large qui permet sur la droite (vers l’Ouest) d’atteindre le pylône d’arrivée d’un téléski. C’est un large chemin puis une piste forestière (de ski de fond l’hiver) qui s’ouvre sous nos pas que l’on suit pendant une bonne demi-heure en descendant et qui nous amène sous le “Pas du Mortier”. Ouvrez l’oeil pour ne pas manquer l’embranchement, à gauche en contrebas de la piste, qui permet de redescendre par un sentier en forêt puis quelques pas sur la route… retour au point de départ !
La crête septentrionale du Vercors s’atteint en 35 minutes ; on rejoint la sente qui permet en toute sécurité de longer le bord de crête ; les petites “fenêtres” percées à travers la végétation que sont ces arbustes souvent balayés par les vents et courants d’air, offrent de nombreux points de vue par dessus les falaises sur la Chartreuse toute proche à vol d’oiseau. Le sentier se faufile vers l’Est entre les lapiaz ou clapiers, ces rigoles creusées naturellement par l’écoulement de l’eau dans la roche calcaire. Après un tronçon sans dénivelé, une dernière montée dégagée de quelques dizaines de mètres, permet d’atteindre le petit sommet découvert de la Buffe, et son large promontoire herbeux, à 1623 m d’altitude.
Satisfaction du sommet atteint. Plénitude quand on s’assied dans l’herbe rase pour profiter d’un panorama riche de sommets et de reliefs proches ou lointains : Chartreuse, Mont - Blanc, Belledonne, Oisans, Ecrins, Taillefer etc… La halte peut être longue si on en profite pour détailler les noms des sommets !
Etape suivante, le sommet de la Sure avec son antenne radio à 1643 m. Puis on redescend vers l’Est et une vaste prairie herbeuse où pousse la gentiane jaune, grande herbe vivace (jusqu’à 1m50) et robuste aux feuilles nervurées et aux fleurs jaunes. Là encore, une halte contemplative s’impose pour profiter d’un panorama encore plus vaste et riche que le précédent.
Notre randonnée se poursuit en contrebas toujours vers le Sud ; on prend un chemin plus large qui permet sur la droite (vers l’Ouest) d’atteindre le pylône d’arrivée d’un téléski. C’est un large chemin puis une piste forestière (de ski de fond l’hiver) qui s’ouvre sous nos pas que l’on suit pendant une bonne demi-heure en descendant et qui nous amène sous le “Pas du Mortier”. Ouvrez l’oeil pour ne pas manquer l’embranchement, à gauche en contrebas de la piste, qui permet de redescendre par un sentier en forêt puis quelques pas sur la route… retour au point de départ !